aimak Comme j'dis toujours aux gens

:~$ man la vie

Comme j'dis toujours aux gens, we don't date noob; we pwn them !

Vous l'avez compris en lisant le titre de cet article : aujourd'hui aimak.org met les petits plats dans les grands pour vous offrir un billet dont la qualité n'a d'égal que le génie/l'égo de son auteur. Aujourd'hui, donc, je tenais à vous présenter une série dont je n'ai pas encore eu l'occasion de parler. A vrai dire, cet article tient plutôt lieu de séance de rattrapage, pour les moins bons de la classe. Parce que, voyez-vous, après seulement 6 épisodes, la saison 2 de How Not To Live Your Life a pris fin la semaine dernière.

How not to live your life est une série un peu à part, un peu à côté des gros projecteurs. Déjà, il s'agit d'une série anglaise. Ca, ça ne fait aucun doute. Le ton est donné dés le début : décors, accents, modes, on n'essaye pas de paraître autre chose. C'est du pur british, dans toute sa splendeur. Le british, et son humour si particulier, mais tellement bon !
Ensuite, on n'a droit qu'à 6 épisodes par saison. Chez How not to live your life, on a décidé d'en faire peu, mais de le faire bien. Et là-dessus, ils ne se sont pas ratés !

Voix off : je ne parlerai que de la saison 2 dans cet article. Cette précision apportée, vous pouvez retourner à votre lecture. Désolé du dérangement.

Dans cette série, nous pouvons suivre les aventures de Don, un sérieux branleur. A la mort de sa mère, Don a hérité d'une énorme baraque (au papier peint à fleur, etcétéra). Compris dans le lot, Eddy, une sorte de majordome dont la seule raison de vie apparente semble être de s'assurer du bien être de Don - lequel bien être consiste à ne rien faire de ses journées - et Mrs Teatcher (aka Gollum), une vieille voisine de Don dont Eddy s'occupe également. Le fantasme (et coloc) de Don, Abby, est partie faire le tour du monde. Ce qui laisse Don, en début de saison 2, quelque peu désappointé. Mais vu qu'il bosse à peine, il a besoin de louer la chambre vacante pour pouvoir vivre plus sereinement. Entre alors en scène la charmante étudiante blonde Samantha. Les 4 personnages principaux réunis, on va pouvoir passer au contenu de la série.

Ma difficulté à cet instant est de parler de l'humour, omniprésent dans cette série, sans enlever tout le plaisir de se faire surprendre par ces blagues/situations/personnages absurdes et autres conversations au 3e degrés. Parce que l'intérêt de cette série se situe avant tout là-dedans : des gags qui viennent souvent là où on les attend le moins. Du pur humour absurde comme il faut. Sans jamais être lourd, toujours bien placé.
La petite touche humoristique perso de cette série c'est le fait que, par moments, dans une action, l'image se bloque et laisse place à 3 ou 4 choses que Don aurait pu faire/dire dans la même situation. Un petit exemple sera sans doute plus parlant.

Bref, vous l'aurez compris, le mot d'ordre de cette série c'est de l'absurde encore et toujours. Etant un grand amateur du genre, je ne vous décris pas mon état en regardant chaque épisode de cette série.

Sauf que pour le coup, la saison 2 est déjà finie. Et ça, c'est plutôt triste.
Y'a intérêt que janvier arrive bientôt pour que Chuck et sa bande de nerds reviennent sur les écrans, pour compenser !

D'ici là, portez vous bien,
aimak