Review – Frank Turner @ Ancienne Belgique, 19/3/2014
Ce soir, c’était le dernier concert de Frank Turner & The Sleeping Souls de la tournée européenne Tape Deck Heart Tour et ça se passait à l’Ancienne Belgique, à Bruxelles.
Il faut savoir que Frank Turner a été un grand tournant dans ma culture musicale. C’est l’artiste qui m’a fait passer du punk au folk, tout simplement. Si, aujourd’hui, j’écoute autre chose que du punk, c’est grâce à lui. En plus de ça, ça fait 6 ans que je le loupe systématiquement. Du coup, cette fois-ci, les attentes étaient très hautes.
Premier point positif, la salle est à moitié accessible (gradins masqués par des grandes toiles et des guirlandes) et, même avec un simple parterre, le public est loin d’être très dense. C’est vraiment injuste pour un artiste du calibre de Frank Turner, qui remplit des stades en Grande Bretagne, mais ça donnera beaucoup de charme au concert puisque le public aura largement l’espace pour danser.
A 20:45, Frank Turner et sa bande arrivent sur scène et commencent tout de suite avec « Photosynthesis ». Le morceau très country permet déjà au public de se chauffer à la fois les hanches et la voix. Le groupe pioche dans ses 6 albums et enchaîne tube sur tube, tout en laissant la part belle aux deux derniers, « Tape Deck Heart » et « England Keep My Bones ». On aura aussi rapidement les titres « Plain Sailing Weather », « Losing Days », « Wessex Boy » ou « Peggy Sang The Blues ».
La température monte et la voix aussi, notamment sur « Glory Hallelujah » dont le refrain sera largement scandé par la foule. D’autres titres seront joués avec Frank seul sur scène, parmi lesquels « Tattoos », notamment.
Entre les morceaux, le groupe prend le temps de raconter ses différentes anecdotes de leurs derniers passages par la Belgique. On pouvait sentir un bonheur sincère d’être sur scène et de partager un moment avec le public qui se laissait complètement guider morceau après morceau, anecdote après anecdote.
Frank va d’ailleurs jouer de cette relation sur un nouveau titre, « Get Better », qui est joué pour la première fois en live avec le groupe entier, pour lequel il demande au public de ne pas du tout ni filmer ni prendre en photo sur cette chanson en particulier, pour pouvoir apprécier le morceau mais aussi réserver la surprise aux autres fans. Une démarche une nouvelle fois très sincère et qui sera suivie (et applaudie) par toute une salle décidément acquise.
La scène s’enflamme ensuite avec les enchainements « The Road » suivie de « If Ever I Stray » ou « Long Live The Queen » suivie de « Recovery », dernière chanson avant le rappel.
Frank Turner revient quelques minutes plus tard, seul, pour lancer « The Ballad Of Me & My Friends », l’hymne des musiciens qui galèrent dans des salles minuscules, qui sera évidemment reprise en cœur. De même pour les deux dernières chansons, « I Still Believe » plus rock que jamais avant « Four Simple Words » où la salle rentre ni plus ni moins en ébullition. Tout le monde danse, chante, crie et tape des mains.
C’est parfois traitre d’aller à un concert en s’imaginant qu’on va vivre un bon moment. Mais c’est un sentiment d'autant formidable, celui d’avoir passé un meilleur moment que celui qu’on s’était imaginé pendant des années. Frank Turner est un artiste complet, un véritable poète complètement sous-évalué en Belgique, qui nous a offert, à Bruxelles, un show à la fois intime et puissant. Parfait.
Playlist Spotify du concert : http://open.spotify.com/user/1152101391/playlist/2YsToFs3TcSh6UrstyVQYg
J’aurais du rester sous Linux
Comme j'dis toujours aux gens, il n'y a que les imbéciles …
Aujourd'hui, ça va faire plus d'un mois que j'ai reçu mon MacBook Pro. Petite révolution pour moi puisque c'est mon premier article Apple (à part un iPod nano mais ça compte à peine) après 3 ans sous Linux. Et, tout compte fait, j'aurais peut-être dû y rester.
Fatals Picards – Coming Out
La tentation de commencer un billet sur les Fatals Picards par un brillant jeu de mots était grande. Mais, après mûres réflexions, il m'est apparu plus sage de laisser ce rôle à la presse spécialisée qui, avec un titre d'album comme Coming Out, devrait pouvoir se faire plaisir.
Parce que, naturellement, quand on évoque les Fatals Picards, on pense humour. Et, surtout, quand leur nouvel album sort enfin, on espère qu'il soit à la hauteur de Pamplemousse Mécanique, paru il y a déjà 4 ans.
Belgique, nouveau record du monde
Courage, messieurs/dames, vous y êtes presque !
Ô, qu'est-ce que j'aimerais pouvoir être à votre place et ressentir votre excitation à la veille de cet évènement. Bientôt, le monde entier reconnaîtra votre savoir-faire que nous célébrerons tous fièrement. Sachez que je vous envie, vous l'élite politique belge.
Bien sûr, cela n'a pas été facile : nombreux sont ceux qui ont essayé de vous mettre des bâtons dans les roues en essayant de former un gouvernement. Par moment, nous pouvions même partager votre résignation. Vous, comme nous, aviez peur que vous ne puissiez jamais y parvenir. Le soulagement, une fois le record du monde établi, n'en sera que plus grand.
Car oui, c'est évidemment de cela qu'il s'agit ! D'ici peu, la Belgique sera le pays qui aura tenu le plus de jours sans gouvernement. N'est-ce pas un exploit dont nous pourrions tous être fier ? Courage, messieurs/dames politique, c'est bientôt la fin.
Merci pour tout et, d'avance, je vous adresse mes plus sincères félicitations.
Nounours temoigne
Comme j'dis toujours aux gens, faut pas nous prendre pour des cons.
Je trouve cette vidéo excellente. Déjà, c'est bien réalisé. L'idée de détourner Nounours est également brillante. La vidéo dans la suite
Tumblr &cie
Comme j'dis toujours aux gens, il n'y a que les imbéciles ...
Ouf, je n'en suis pas : je change d'avis. Et, en ce moment, il y a beaucoup de choses que je remets en question.
Et bonne année, bien sûr.
Monsieur Dictionnaire
Comme j'dis toujours aux gens, on dit esperluette !
Aujourd'hui, relevons le niveau, si vous le voulez bien. Aujourd'hui, parlons un français impeccable, grâce à Monsieur Dictionnaire. Programme court sur la RTBF l'an dernier, il s'agissait-là d'un véritable chef d'œuvre.
Cliquez sur "lire la suite" pour regarder un de mes préférés, l'esperluette
Retour musical 2010
Comme j'dis toujours aux gens, j'veux de la musique qui pense
Voilà mon traditionnel billet de fin d'année sur aimak.org. En revanche, cette fois, je ne ferai pas les mêmes « erreurs » que l'an dernier, à savoir annoncer plus de billets que je n'en fais vraiment (vieille habitude de blogueur) et j'irai directement au plus important.
Revenez, c’est pour rire
Comme j'dis toujours aux gens, rions un peu.
Un petit billet court. Juste histoire de parler un peu de la Belgique et de ce qui s'y passe. Entre les grèves, les inondations et autres conflits politiques.
Acheter un laptop est un enfer
Comme j'dis toujours aux gens, « go get a Mac * ».
Depuis le début de l'année scolaire, je me lasse de mon Acer Aspire 5920. Il a plus de 2 ans, maintenant, et il est temps de lui trouver un remplaçant.